« Fr-fr adulte carte 12 puits de carbone » : différence entre les versions

→‎Variation de la photosynthèse : Correction du lien vers le document du Global Carbon Project qui était cassé + utilisation du document de 2021 au lieu de 2019 (je n’ai pas trouvé le même graphe dans le dernier document en date c’est-à-dire 2022)
(→‎Variation de la photosynthèse : Correction du lien vers le document du Global Carbon Project qui était cassé + utilisation du document de 2021 au lieu de 2019 (je n’ai pas trouvé le même graphe dans le dernier document en date c’est-à-dire 2022))
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Sur cette carte, on peut observer que la photosynthèse retombe à 0 certaines années, et varie énormément d'une année à l'autre. L'explication vient du fait que le puits de carbone résiduel est calculé à partir de la valeur restante des autres variables<ref>[https://www.ipcc.ch/site/assets/uploads/2018/03/WG1AR5_SummaryVolume_FINAL_FRENCH.pdf#page=66 Page 66 du résumé du 5ième rapport du GIEC, groupe de travail 1]</ref>. C'est pour cela qu'on retrouve parfois des valeurs négatives. Dans ce graphe, les émissions et leur répartition incluent seulement les flux ayant varié depuis 1750, sans les flux naturels de {{CO2}}, comme l'absorption du {{CO2}} atmosphérique issu de l’élimination progressive, du dégazage du {{CO2}} des lacs et des rivières, et du dégazage du {{CO2}} dans les océans à partir du carbone amené par les fleuves. Cependant, le GIEC n'explique pas clairement pourquoi une telle variation peut se lire sur le graphique.
Sur cette carte, on peut observer que la photosynthèse retombe à 0 certaines années, et varie énormément d'une année à l'autre. L'explication vient du fait que le puits de carbone résiduel est calculé à partir de la valeur restante des autres variables<ref>[https://www.ipcc.ch/site/assets/uploads/2018/03/WG1AR5_SummaryVolume_FINAL_FRENCH.pdf#page=66 Page 66 du résumé du 5ième rapport du GIEC, groupe de travail 1]</ref>. C'est pour cela qu'on retrouve parfois des valeurs négatives. Dans ce graphe, les émissions et leur répartition incluent seulement les flux ayant varié depuis 1750, sans les flux naturels de {{CO2}}, comme l'absorption du {{CO2}} atmosphérique issu de l’élimination progressive, du dégazage du {{CO2}} des lacs et des rivières, et du dégazage du {{CO2}} dans les océans à partir du carbone amené par les fleuves. Cependant, le GIEC n'explique pas clairement pourquoi une telle variation peut se lire sur le graphique.


On peut rajouter que la concentration atmosphérique a eu une haute croissance dans les années présentant un phénomène El Niño, car il rend difficile l'absorption du carbone par la végétation<ref>[https://www.globalcarbonproject.org/carbonbudget/19/files/GCP_CarbonBudget_2019.pdf#page=48 The Global Carbon Project, 2019]</ref>.
On peut rajouter que la concentration atmosphérique a eu une haute croissance dans les années présentant un phénomène El Niño, car il rend difficile l'absorption du carbone par la végétation<ref>[https://www.globalcarbonproject.org/carbonbudget/archive/2021/GCP_CarbonBudget_2021.pdf#page=49 The Global Carbon Project, 2021]</ref>.


===Capacité des puits de carbone===
===Capacité des puits de carbone===
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