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(→Effet des précipitations : nouvelle section) |
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Point 2 : le terme "bombe climatique" me semble à utiliser avec précaution concernant le permafrost et plus globalement sur des sujets liés à l'emballement climatique. En effet, le mot "bombe" et l'expression "bombe à retardement" laissent à penser que le phénomène n'est pas encore arrivé et que cela produit un effet instantanné. | Point 2 : le terme "bombe climatique" me semble à utiliser avec précaution concernant le permafrost et plus globalement sur des sujets liés à l'emballement climatique. En effet, le mot "bombe" et l'expression "bombe à retardement" laissent à penser que le phénomène n'est pas encore arrivé et que cela produit un effet instantanné. | ||
Or le dégel du permafrost a déjà lieu depuis quelques années. Ce serait plutôt l'image d'une fuite de gaz qui fait déjà d'ores et déjà des victimes et dont les conséquences négatives peuvent s'accélérer brutalement. | Or le dégel du permafrost a déjà lieu depuis quelques années. Ce serait plutôt l'image d'une fuite de gaz qui fait déjà d'ores et déjà des victimes et dont les conséquences négatives peuvent s'accélérer brutalement. | ||
== Effet des précipitations == | |||
L'article du CNRS en référence précise que la modification du régime de précipitations neigeuses a une forte incidence sur le dégel du pergélisol : la neige tombe en grandes épaisseurs, qui isole le sol du froid atmosphérique, ce qui accentue le dégel. C'est un effet contre-intuitif intéressant. |
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